10 choses que seuls les gens qui adorent dormir comprendront

Publié le Jeudi 09 Avril 2015

Par Anaïs Orieul Journaliste

Dormeur, le nain accro à son lit dans Blanche-Neige et les sept nains

Une petite sieste réparatrice, une grasse matinée, une nuit de sommeil profonde... Voici pêle-mêle quelques petits mots qui vous font frémir d'envie. Oui, vous l'avez compris il y a bien longtemps : vous n'aimez pas simplement dormir, vous vouez un véritable culte à votre lit. Rassurez-vous, vous n'êtes pas seule. La preuve par 10.

1- Vous connaissez votre nombre idéal d'heures de sommeil

D'après une étude anglaise publiée en 2013, dormir trop peu perturberait les gênes. Bizarrement, cette histoire ne vous touche pas. Mais alors pas du tout.

2- Mal dormir vous transforme en créature excessivement grincheuse

Ou le syndrome de la double personnalité façon Dr Jekyll et Mister Hyde.

3- En même temps, vous dormez toujours d'un sommeil très (très) lourd

Quand on pense que certaines personnes ont recourt à des méthodes saugrenues pour lutter contre l'insomnie...

3- Rentrer du boulot = enfiler directement son pyjama (ou son jogging)

Pourquoi rester emprisonnée dans son soutien-gorge et son jean slim quand la tenue la plus cocooning du monde nous attend sous notre oreiller ?

4- Vous appréciez plus que personne la compagnie des chats

S'ils ont légèrement tendance à taper sur les nerfs de leurs propriétaires, ils font aussi d'incroyables copains de sieste.

5- Vous êtes prête à renoncer à votre vie sociale pour 2h de sommeil en plus

Dîner avec des amies que vous n'avez pas vu depuis six mois ? Ça demande un peu de réflexion quand même.

6- Vous ne comprenez pas comment font les gens qui ne dorment pas beaucoup

Qui sont-ils ? Quels sont leurs réseaux ? Pourquoi font-ils ça ???

7- Devenir maman vous angoisse pour une seule et unique raison...

... Comment allez-vous faire pour gérer le manque de sommeil les premiers mois ? Désolée d'en rajouter une couche, mais d'après une étude, les parents perdraient 44 jours de sommeil par an après la naissance de leur bébé. Oui, 44.