Plus Belle la Vie Replay (PBLV) : résumé de l'épisode 2884 du 123 novembre 2015
Diffusée tous les jours sur France 3, la série "Plus Belle la Vie " continue de passionner ses fans malgré les années qui passent. Il faut dire que les habitants du Mistral vivent des aventures riches en rebondissements et que les scénaristes prennent plaisir à nous surprendre.
Dans l'épisode précédent du 11 novembre débutait le procès de Margaux. Un moment très intense pour la jeune femme, particulièrement stressée...
Refusant de prendre la place de sa mère, Francesco se résout plus facilement que Barbara à la vente du Palacio Del Ragno, l'hôtel à Ravello. Roland remonte le moral de Barbara, et lui prédit une très belle carrière quoiqu'il arrive. Claudia révèle à Barbara qu'il faudrait que Francesco épouse sa cousine Annabelle pour avoir suffisamment de votes favorables, et garder son hôtel dans la famille. Barbara rejette cette idée de mariage blanc. Elle est choquée. Claudia confie également son plan à Abdel, surpris par cette démarche... En larmes, Barbara confie à Francesco que Claudia veut le marier avec Annabelle... Il lui jure que ça n'arrivera jamais !
Jeanne fait part à Claire de son mécontentement sur la tournure du procès. Céline félicite Margaux pour son courage. Arthur vient à la barre, apeuré. Claire propose que Margaux vienne tout près de lui pour le rassurer. Margaux raconte comment son frère a failli mourir à cause d'Elise, et les mots terribles de son amie qui ont déclenchés son geste...
Jean-Paul accepte de redonner une gélule à Samia, mais leurs crises narcoleptiques s'aggravent. En plein interrogatoire, Jean-Paul s'endort, ainsi que Samia, au Bar du Mistral, devant Thomas et Gabriel. Jean-François montre les images de l'interrogatoire à Jean-Paul pour lui prouver qu'il y a un problème avec le médicament qu'il teste...
Et si vous n'avez pas l'occasion de voir l'épisode lors de sa diffusion, il sera évidemment visible en replay dans son intégralité sur le site de la chaîne. Il n'y a donc aucune raison de s'en priver.
