L’Amour est dans le pré du 29 juillet : Thomas et son cheval, Sophie et son Matthieu cibles des critiques

Publié le Mardi 30 Juillet 2013
L’Amour est dans le pré du 29 juillet : Thomas et son cheval, Sophie et son Matthieu cibles des critiques
L’Amour est dans le pré du 29 juillet : Thomas et son cheval, Sophie et son Matthieu cibles des critiques
Chaque année, « L’Amour est dans le pré » fait le plein d’audiences alors que les atres programmes estivaux peinent à tirer leur épingle du jeu. En cette 8e saison, M6 peut se réjouir car les scores sont une fois encore au rendez-vous. Quant à ses candidats, ce sont chaque fois les caractères forts qui suscitent le plus de buzz. Hier soir, ce sont Sophie et Thomas qui sont passés à la moulinette à sarcasmes des réseaux sociaux.
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Vous étiez 5,7 millions devant M6 en ce 29 juillet, curieux de découvrir la suite des aventures de nos agriculteurs de la saison 8 à la recherche de l’âme soeur. Si la chaîne nous présentait hier soir celles de Damien (prenant fébrilement conseil auprès de sa môman pour conquérir le cœur de sa douce Elodie, quelque peu oppressée), Jean-Noël (au milieu de l’ardente bataille qui opposa Sandrine, Nathalie et sa tarte aux pommes) et Gilles tombé love de Katia, ce sont bien les personnages de Sophie et Thomas qui, chacun pour des raisons différentes, ont attiré l’attention des téléspectateurs.

Thomas cible de Twitter, lourd comme un cheval mort

Le Net ne bruisse plus que du scandale chevalin qui empoisonne Thomas, éleveur dans la Somme. En effet, depuis que le Courrier Picard a révélé que celui-ci comparaîtrait le 6 septembre prochain au tribunal correctionnel d’Amiens dans une affaire de « sévices graves, actes de cruauté envers un animal domestique apprivoisé ou captif » pour avoir, selon ses accusateurs, laissé agoniser l’un de ses animaux, son nom est associé à cet acte de cruauté. Pourtant, Thomas s’est, depuis, expliqué dans les colonnes de ce même journal, arguant avoir pris soin de l’animal, atteint de myopathie atypique, et dont la fin était inéluctable, en lui injectant un anti-douleur avant de le recouvrir d’une couverture afin que ses dernières heures, comptées, soient moins pénibles.
Des explications dont n’ont que faire les twittos sarcastiques grands fans de l’émission, qui prenaient déjà un malin plaisir, avant l'"affaire", à critiquer ce candidat jugé peu sympathique, en témoignent ces piques pour le moins cruelles :



Quant à ses prétendantes, elles perdent patience face à son attitude désinvolte. Thomas fuit, Thomas ricane et Thomas refuse de dévoiler ses sentiments si bien que Pauline, a priori sa préférée, lui lance que « C’est pas "L’Amitié est dans le pré" mais "L’Amour est dans le pré !" », avant d’avouer à la caméra être totalement désabusée.

Sylvain : « Matthieu a touché Sophie plus profondément que j’ai su le faire »…


Sophie, la timide agricultrice, n’a depuis le début de l’aventure d’yeux que pour Matthieu, bellâtre brun arrivé avec deux jours de retard pour « raisons professionnelles » alors que le gentil Sylvain, toujours de bonne humeur, ne cesse de l’épauler dans ses tâches quotidiennes tout en tentant, en vain, de conquérir son cœur. Dans la séquence d’hier, on a même pu assister à la scène ubuesque montrant Matthieu, dormant tranquillement jusqu’à midi, en proie, a priori, à une terrible gueule de bois suite à la soirée arrosée de la veille alors que ce pauvre Sylvain fourchait courageusement, à l’aube, dans l’étable. Pourtant Sophie, fleur bleue, choisissait en fin d’épisode de proposer à son Matthieu de le revoir, gloussant, rougissant, manifestement peu maîtresse de ses émotions alors que le jeune homme acceptait volontiers sa proposition.

Quant aux internautes, ils ne se sont pas gênés pour railler l’attitude de midinette de la timide agricultrice, qui se dit aujourd’hui « amoureuse » (de Matthieu ?).



Quant à Sylvain, il a conclu avec sagesse et a priori sans ironie : “Matthieu a su toucher Sophie plus profondément que j’aurais su le faire », sous une pluie de commentaires, vous vous en doutez, plus sarcastiques et graveleux les uns que les autres...

Sacré Sylvain (ou sacré Matthieu ?) !