Vendredi tout est permis : les secrets embarrassants de l'émission d'Arthur
Exportée dans une dizaine de pays dont l’Australie, le Brésil et le Danemark, l’émission d’Arthur « Vendredi tout est permis » est diffusée en deuxième partie de soirée le vendredi, sur TF1. Mais derrière le succès et les stars invitées, l’émission cache une réalité toute autre. C’est le magazine Télé-loisirs qui a enquêté sur l’envers du décor, moins glorieux, de cette émission populaire.
Des anti-nauséeux pour supporter le décor penché
Arthur, l’animateur de l'émission, est à l’origine de l’idée du décor penché, une idée qu’il aurait eu « en regardant La Ruée vers l'or de Chaplin (...) et qu'il a tout de suite souhaité reproduire », comme explique la productrice de l’émission Dominique Richer. Un caprice de stars qui n’est pas au goût de tous les invités : si Virginie Hocq avoue tremper ses baskets dans du Coca-Cola pour que le sucre lui permette d’adhérer au plancher, d’autres, souffrant de mal de mer, sont contraints de prendre des médicaments anti-nauséeux.
Une hospitalisation et des rémunérations tenues secrètes
Forcément, un tel décor et des épreuves cocasses engendrent parfois des accidents. C’est le cas de Nikos Aliagas qui a fini aux urgences pour une brève hospitalisation après un faux-mouvement sur le plateau. Télé-Loisirs s’est également renseigné sur le cachet des invités. Si ceux qui sont en promotion ne touchent pas de rémunération, l’émission assurant en contre-partie la publicité de leurs albums, films, livres et tournées, les autres personnalités présentes toucheraient en revanche une « petite somme d’argent » selon le magazine qui ne précise pas le montant de le rétribution.
Manon Adoue
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