The Voice : qui est Spleen, auteur de la reprise de « Toxic » de Britney Spears ?

Publié le Dimanche 12 Janvier 2014
The Voice : qui est Spleen, auteur de la reprise de « Toxic » de Britney Spears ?
The Voice : qui est Spleen, auteur de la reprise de « Toxic » de Britney Spears ?
« The Voice », sur TF1, samedi 11 janvier, se veut découvreur de talents. Avec Spleen, qui a illuminé la soirée avec une reprise de la chanson de Britney Spears, « Toxic », c’est un véritable phénomène que nous avons vu à l'écran. Une découverte qui n’en est pas forcément une. Le jeune homme, à la voix particulière, a déjà sorti quelques albums.
À lire aussi


« Spleen et idéal » titrait Baudelaire un de ses recueils de poésie. Pour cette troisième saison de « The Voice », samedi 11 janvier, le chanteur idéal, c’est Spleen. Pascal Oyong-Oly, de son vrai prénom, est celui qui a marqué la première émission de « The Voice », avec une reprise très originale du tube de Britney Spears, « Toxic ». Celui qui est venu à « The Voice » pour « retrouver une jeune femme prénommée Mélanie », a émerveillé public, jury et téléspectateurs. Il a aussi apporté un vent de fraîcheur au moment de choisir son « professeur » pour continuer l’aventure « The Voice ». Il a décidé qu’une jeune fille présente dans le public déciderait à sa place. L’adolescente lui a ainsi conseillé de rejoindre Mika, qui a remplacé Louis Bertignac cette saison, ce que Spleen a fait.

Spleen connu en dehors de  « The Voice »

« Pleins de voix, pleins de personnalités », expliquait Jennifer, pour qui cette saison risque d'être la dernière, juste après la performance du jeune chanteur. Pourtant, Spleen n’en est pas à son premier coup d’essai et est connu par certains amateurs de musique. Il a déjà sorti deux albums chez Universal et certains médias parlaient de lui déjà en 2005. Ainsi, cette même année,  Spleen a été lauréat du concours CQFD des « Inrockuptibles ». En 2008, le site de « L’Express » lui consacrait un article après la sortie de son deuxième album. Entre soul, folk et beatbox, celui qui peut passer des graves aux aigus aussi vite que Nelson Monfort passe de l’anglais au français, n’est donc pas un nouveau venu.