Pékin Express 2014 : 4 bonnes raisons de suivre la nouvelle saison sur M6
Pourquoi devriez-vous regarder la nouvelle saison de « Pékin Express » ? Mais quelle question ! Notre première réponse est « mais parce que c’est trop bien ». Bon admettons que cela ne suffise pas à vous convaincre, voici quelques pistes.
Parce que Stéphane Rotenberg
Et oui, une bonne émission, présentée par un manche, avouez que ça ne passerait pas. Stéphane Rotenberg « fait le job » comme personne. Il passe aisément de « Top Chef » à « Pékin Express », fait preuve d’empathie et donne de sa personne (on se souviendra longtemps de son accident de moto en 2012). Pour un peu, on en oublierait presque qu’il a présenté le « Bachelor » sur M6 ! Papa poule avec sa fille Emma, il reste très discret sur sa vie de couple. Mais qu’importe, qu’il soit heureux ou non en ménage, Stéphane on l’aime !
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Parce qu’il y aura du neuf et de l’ancien
Comme pour un mariage, la production a opté pour la sécurité en mélangeant anciens et nouveaux candidats. Ainsi, ceux ayant déjà participé à « Pékin Express » sont accompagnés par une nouvelle personne de leur entourage. L’occasion pour nous de commencer cette nouvelle saison avec des valeurs sûres !
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Parce que le côté « j’irai dormir chez vous » va être accentué
Pour se démarquer cette année, M6 a choisi de renforcer l’un des atouts de l’émission : les locaux. Alors qu’on pouvait reprocher au programme de prendre un tournant un peu trop « télé-réalité », cette année l’accent sera mis sur les nuits passées chez les locaux et les rencontres touchantes qui en découlent. Après avoir négocié le couvert et le gîte comme des grands, les candidats ont bénéficié de l’aide de traducteurs pour faire la conversation et en apprendre bien plus sur le mode de vie des locaux.
Parce les pays traversés ont une histoire forte
Cette année, « Pékin Express » n’a rien épargné aux candidats. Moins « finger in the noze » que les USA, les candidats ont dû traverser des pays qui étaient, il y a peu encore, inaccessibles ou bien même en guerre. En Birmanie par exemple, Stéphane Rotenberg a confié à Metronews qu’il n’avait pas été facile de faire accepter aux autorités que les candidats dorment chez des locaux. « Il n'y a pas si longtemps, il était interdit aux Birmans d'accueillir des gens chez eux. Les autorisations n'ont pas été faciles à obtenir », explique-t-il.
Alors, c’est décidé ? Ce soir on regarde « Pékin Express » !
