Hélène Ségara : la mauvaise blague de Zaz sur son état de santé

Publié le Mercredi 19 Novembre 2014
Thomas  Belleaud
Par Thomas Belleaud journaliste
Hélène Ségara : la mauvaise blague de Zaz sur son état de santé
Hélène Ségara : la mauvaise blague de Zaz sur son état de santé
Dans cette photo : Hélène Ségara
Hélène Ségara n'a pas pour habitude de s'attarder sur sa vie privée. Dans une récente interview, la chanteuse, atteinte d'une maladie qui affecte sa vue, est pourtant revenue sur son état de santé, et la petite bourde causée par l'artiste Zaz lors d'un concert des Enfoirés.
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En octobre 2013, Hélène Ségara avait confié publiquement souffrir d'une « maladie rare, conséquence d'une autre maladie auto-immune ». La chanteuse, qui suivait un traitement médical à base de cortisone, indiquait alors avoir failli perdre la vision à l'oeil droit.

Un an plus tard, l'interprète de Je vous aime adieu est revenu sur cet épisode à l'occasion d'une interview au magazine Gala. Hélène Ségara indique ainsi aller mieux et avoir choisi d'arrêter ce type de trairement qui « martyrisait » son corps. Selon les propos rapportés par le magazine, l'artiste, âgée de 43 ans, vit aujourd'hui avec « un implant » dans l'oeil.

Le rapide détour par son état de santé a également permis à Hélène Ségara de partager une anecdote pour le moins gênante au sujet de la chanteuse Zaz. Cette dernière aurait ainsi plainsanté au sujet de la vision de sa camarade à l'occasion d'un concert des Enfoirés en 2013.

« L'année dernière, alors que j'avais obtenu de la prod qu'on limite mes déplacements sur scène, la chanteuse Zaz m'a vue avancer à tâtons dans les coulisses, après un tableau », raconte l'ancienne Esmeralda. « Sur le ton de la plaisanterie, elle m'a demandé si j'avais besoin d'un chien d'aveugle. Quand elle a su ce dont je souffrais, la pauvre était horrifiée par sa boutade, dont je fus pourtant la première à rire ».

Une maladresse vite oubliée par l'intéressée, mais dont se serait bien passé Zaz, cible de critiques depuis plusieurs jours après ses propos plémiques sur « la légèreté de la vie » durant l'Occupation.