Véronique Sanson : elle voulait engager un tueur à gages pour éliminer son mari

Publié le Lundi 26 Janvier 2015
Sarah  Redon
Par Sarah Redon Journaliste
Journaliste médias et lifestyle
Véronique Sanson : elle voulait engager un tueur à gages pour éliminer son mari
Véronique Sanson : elle voulait engager un tueur à gages pour éliminer son mari
Dans cette photo : Véronique Sanson
Invité d'On n'est pas couché samedi à l'occasion de la sortie en librairie du livre de Laurent Calut et Yann Morvan, « Les Années Américaines », Véronique Sanson est revenue sur son mariage tumultueux avec Stephen Stills et confié qu'elle avait déjà songé à engager un tueur à gages pour le faire disparaître.
À lire aussi


S'il y a bien un défaut que Véronique Sanson n'a pas, c'est la langue de bois. Invitée samedi soir dans « On n'est pas couché » pour faire la promotion du livre Les Années Américaines que lui ont consacré Laurent Calut et Yann Morvan, la chanteuse de 65 ans est revenue longuement sur les années qu'elle a passée avec Stephen Stills et dont elle a eu un fils, Christopher. Mariée au musicien du groupe Crosby, Stills & Nash (and Young) en 1973, Véronique Sanson finira par en divorcer six ans plus tard alors que leur couple est au plus mal.

Assise dans le fauteuil des invités d' « On n'est pas couché », Véronique Sanson avoue aujourd'hui sans retenue avoir même envisagé d'engager un tueur professionnel pour faire disparaître Stephen Stills. « Oui, ça m'a traversé l'esprit », confie-t-elle à Laurent Ruquier, avant d'expliquer : « Ça coûte rien de demander. D'ailleurs, ça coûte pas si cher : ça ne coûte que 8 000 dollars. » « J'ai même pensé à le pousser d'une falaise ou d'un bateau ! », explique-t-elle devant une audience médusée.

Elle y renoncera finalement, non pas par remords, mais par « peur de se faire prendre ». « Je me disais pas du tout que c'est mal de tuer, je me disais juste que j'avais pas envie de me faire prendre. Je suis tellement con et désordonnée que je vais laisser traîner un truc et qu'on saura que c'est moi. C'est pour ça que je ne l'ai pas fait ! »