Total célèbre les premières « Journées Mondiales de la Diversité »

Publié le Mardi 30 Août 2011
Total célèbre les premières « Journées Mondiales de la Diversité »
Total célèbre les premières « Journées Mondiales de la Diversité »
Du 23 au 27 mai dernier, le Groupe Total organisait ses premières « Journées Mondiales de la Diversité » afin de sensibiliser et mobiliser l’ensemble des collaborateurs de ses différentes filiales. Une première dans l’histoire du Groupe. Retour sur cette initiative novatrice.
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Sensibiliser, partager les bonnes pratiques internes, renforcer l’esprit d’appartenance, lutter contre les préjugés, tels étaient les objectifs premiers de ces « Journées Mondiales de la Diversité », qui ont vu le jour à l’initiative du Conseil de la Diversité du Groupe Total. Une opportunité pour le management du Groupe de communiquer et renforcer ses objectifs en la matière et une occasion surtout pour les filiales des différents pays de valoriser la diversité en interne.

LA CULTURE DE LA DIVERSITE

Si le Groupe Total est d’origine française, ses activités sont présentes partout dans le monde.  Avec 136 nationalités différentes au sein des filiales, la culture de la diversité est une réalité au sein du Groupe. Afin d’assurer sa compétitivité et sa capacité d’innovation, Total veille à assurer la diversité des talents et du management au niveau mondial. Ainsi, 91% des recrutements en 2010 concernent des non-Français.
En 2004, Total a mis en place le Conseil de la Diversité présidé par Yves-Louis Darricarrère, Directeur Général Exploration & Production de Total. Ses missions : la poursuite des efforts en matière de mixité des équipes, de diversité social et d’intégration des personnes en situation de handicap.

DES « JOURNEES » A LA CARTE

Afin de célébrer cette culture de la diversité, Total a lancé à travers le monde les premières « Journées Mondiales de la Diversité ».
Chaque filiale, du Moyen-Orient à la Bolivie en passant par l’Indonésie, a établi ses propres « Journées » à la carte. Conférences, témoignages de collaborateurs, rassemblements, les moyens d’action étaient aussi vastes que le sujet lui-même :
Au Congo, expérience intéressante et à étendre. On a échangé sur les métiers, on les a valorisés, on les a expliqués. Des films « Vis mon métier » et « Vis ma passion » ont servi de socle à ces échanges ; on débat sur le conflit des générations ; on évoque les actions avec les Nations Unies. Au Gabon et au Congo, le récit des héroïnes du Rallye des Gazelles placé sous le signe du dépassement de soi  et de la solidarité, a enchanté.  

Autre continent, autre méthode. Au Nord de l’Amérique, on a privilégié l’échange, le débat et la formation avec le souci du « Next step » : quelle feuille de route et comment s’inscrire dans la durée ?
En Indonésie, c’est le mois entier qui a été vécu sous le signe de la Diversité. La filiale a consacré une journée hommage à Raden Ayu Kartini, pionnière des droits des femmes indonésiennes. Ainsi de nombreux événements furent organisés lors du  « Kartini Day » sous le signe de la diversité des genres : talk-show sur les stéréotypes, animations d’équipes pour illustrer le fossé entre les genres, ce qui est d’autant plus remarquable dans le contexte de ce pays, de 300 millions d’habitants, majoritairement musulman  et attaché à sa culture.

Même esprit d’ouverture pour les filiales Total du Moyen-Orient. Aux Emirats arabes unis, 38 nationalités représentées ont tenu à « afficher » leur engagement en faveur de la diversité : des affiches dans chaque site, une bannière géante pour laisser vivre et s’exprimer la créativité de chacun,
des présentations à thèmes : journée de la femme, journées des hommes (voilà qui nous change !) et des concours mixtes de mode. La diversité sous toutes ses coutures ! Une multitude d’idées à exporter partout.

Difficile de ne pas être emporté par « l’énergie positive » des filiales de Total. Sans aucun doute, la vraie énergie alternative des années à venir. Et dont la diversité sera la source en même temps que la finalité.



Crédit photo : Zylberman Laurent Deron Thomas/Total
Crédit photo haut : Mary J. Garcia C.


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