Une vie sociale intense développe le cerveau et l’espérance de vie

Publié le Jeudi 30 Décembre 2010
Une vie sociale intense développe le cerveau et l’espérance de vie
Une vie sociale intense développe le cerveau et l’espérance de vie
La partie du cerveau servant aux relations sociales, l'amygdale, se développe proportionnellement à notre réseau social, avec les facultés de compréhension et de sensibilité.
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Les amis c’est la santé ! L'amygdale est la partie du cerveau qui est directement liée aux relations sociales. Les résultats d’une étude publiée dans la revue « Nature Neuroscience » mettent en avant l'importance de cette zone cérébrale sollicitée par tout un chacun pour comprendre les autres, identifier les signaux sociaux et émotionnels, et développer des stratégies de comportement en société. Elle grossirait en fonction de la taille de notre réseau social et évoluerait ainsi en fonction de nos fréquentations.

Une autre étude publiée dans la revue « Plos Medecine » constate par ailleurs que les personnes ayant un faible réseau de connaissances ont 50% de risques supplémentaires de mourir dans les 7 ans et demi que celles qui fréquentent régulièrement du monde. Soit à peu près la même différence de longévité qu’entre un fumeur et un non-fumeur. Les deux études ne disent pas si les relations Facebook influent comme un véritable réseau social !

(source : Slate)

Sophie Ughetto.

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