Les meilleurs hôpitaux de France en 2013 sont...

Publié le Jeudi 22 Août 2013
Les meilleurs hôpitaux de France en 2013 sont...
Les meilleurs hôpitaux de France en 2013 sont...
Le Point a publié jeudi 22 août son classement 2013 des 50 meilleurs hôpitaux publics de France. Un palmarès qui sacre une nouvelle fois le CHU de Lille -  qui retrouve la première place, perdue depuis 2009 - et celui de Toulouse.
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Le Point a dévoilé jeudi 22 août son classement 2013 des meilleurs hôpitaux publics de France. Sur 500 établissements recensés sur le territoire, 50 ont été sacrés par le magazine, pour la qualité de 63 spécialités médicales et chirurgicales. Ainsi, c’est le CHU de Lille qui l’emporte, devant le CHU de Toulouse. Ces deux établissement sont en tête du classement depuis plusieurs années déjà. Seule nouveauté, Lille retrouve sa place de leader, qu'elle avait perdue depuis 2009.

En troisième position, on retrouve le CHU de Bordeaux, les hôpitaux universitaires de Strasbourg (4e), le CHU de Nantes (en hausse), celui de Montpellier (qui passe de la 5e à la 6e place), la Pitié-Salpêtrière-Paris (en hausse), les CHU de Nancy (qui passe de la 15e à la 8e place), de Rennes, Grenoble, Amiens, Rouen, Tours, Caen, Clermont-Ferrand, Nice et Limoges. Enfin, c’est le centre hospitalier de La Roche-sur-Yon (50e) qui clôt cette édition 2013.

Pour figurer au classement final, un établissement doit fournir un service médical et chirurgical complet. Les établissements de soins spécialisés en sont donc écartés, mais apparaissent dans les classements sur la prise en charge des cancers ou des maladies infantiles.

Le Point a par ailleurs dressé un autre palmarès, celui des 50 meilleures cliniques privées, en prenant en compte 37 spécialités. Le centre hospitalier privé Saint-Grégoire (Ille-et-Vilaine) conserve sa première place, suivi de près par l'hôpital privé Jean-Mermoz (Lyon) et les Nouvelles Cliniques nantaises (Nantes).

De plus en plus de femmes médecins

Si au sein des hôpitaux, les plus hauts postes sont encore majoritairement occupés par des hommes, les femmes médecins sont toutefois de plus en plus nombreuses. En effet, sur 42 000 praticiens hospitaliers du public, près de la moitié sont des femmes (46%), voire plus à l'AP-HP (55% avec les internes). La chirurgie tend elle aussi à se féminiser : un quart des chirurgiens en exercice sont des femmes.

Elodie Cohen Solal


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