Les femmes à grosses fesses ont un QI plus élevé, c'est scientifiquement prouvé

Publié le Mardi 11 Février 2014
Les femmes à grosses fesses ont un QI plus élevé, c'est scientifiquement prouvé
Les femmes à grosses fesses ont un QI plus élevé, c'est scientifiquement prouvé
Dans cette photo : Kim Kardashian
Les plus gros fessiers seraient aussi les plus gros QI. Une injustice révélée par une étude de l’université d’Oxford portant sur quelques 16 000 femmes. Selon celle-ci, les femmes au postérieur le plus rebondi seraient à la fois en meilleure santé et plus intelligentes, ceci grâce aux… Oméga-3 !
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Que ceux accusés de choisir leurs partenaires d’après leur physique relèvent la tête : ils avaient peut-être raison. En effet, une très sérieuse étude britannique, conduite par l’université d’Oxford sur 16 000 femmes, tend à prouver que la nature est injuste. Selon celle-ci, les femmes ayant les fesses les plus rebondies seraient à la fois en meilleure santé et mieux placées dans les tests de QI. De plus, les enfants nés d’une mère aux hanches et aux fesses généreuses seraient plus intelligents que ceux nés d’une femme plus mince. Une différence davantage liée à l’influence de l’état de santé sur les neurones qu'à une quelconque action directe sur ces derniers. En cause, la position de la graisse dans le corps. Sale temps pour les maigres et les porteuses de bouées.

Toutes les graisses ne se valent pas

En effet, les graisses contenues dans la région dite glutéo-fémorale, c’est-à-dire les fesses et les cuisses, seraient du même type que celles contenues dans les hanches. Elles auraient tendance à stocker plus d’Oméga-3, des acides gras reconnus comme bénéfiques, et à relâcher moins de cytokines, messagers cellulaires pouvant agir sur le métabolisme.

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Quant aux « personnes en forme de poire », par contre, elles auraient droit à des graisses plus actives et plus libérales sur l’envoi de cytokines, parfois jusqu’au diabète et à la maladie cardiaque. Au final, alors que les personnes aux fesses généreuses auraient une santé comparable à celle des maigres, ceux à « l’estomac épais » courraient nettement plus de risques. Pire, il serait impossible de déplacer la graisse d’une partie du corps à une autre. Une hypothétique solution médicamenteuse pourrait en revanche bloquer le dépôt dans une zone, ou orienter les « nouvelles arrivantes » vers une autre. Alors, Kim Kardashian et Einstein, même combat ?