Trierweiler dans Ouest-France : parler de Ségolène Royal "n'est pas un tabou"

Publié le Mercredi 03 Octobre 2012
Trierweiler dans Ouest-France : parler de Ségolène Royal "n'est pas un tabou"
Trierweiler dans Ouest-France : parler de Ségolène Royal "n'est pas un tabou"
Dans cette photo : Valérie Trierweiler
La Première dame Valérie Trierweiler est sortie de son silence en accordant mercredi 3 octobre une interview exclusive au quotidien régional Ouest-France, dans laquelle elle se confie sur son rôle, son tweet, son émission et "L'Ex", Ségolène Royal.
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On a beaucoup parlé de ses propos sur le tweet de soutien à Olivier Falorni, qu'elle "regrette (...) puisqu'il a été mal interprété", mais aussi de ses déclarations sur sa potentielle émission sur Direct 8, chaîne pour laquelle Valérie Trierweiler travaille depuis sept ans, et dont elle a finalement décidé d'abandonner le projet ("Après une période de réflexion, j'ai décidé d'abandonner le projet"), mais les médias sont moins souvent revenus sur cette petite phrase prononcée par l'interviewée sur la mère des enfants de son compagnon.


Le journaliste de Ouest-France a en effet demandé à la Première dame s'il était réellement "tabou" de parler de Ségolène Royal, en profitant au passage pour évoquer l'épisode de New York (où madame Royal avait croisé François Hollande, en visite officielle, lequel n'était pas venue la saluer, provoquant sa colère et son émotion, relatée dans les médias). Valérie Trierweiler ne s'est pas défilée et a simplement répondu que Ségolène Royal était une "figure de la vie politique, [ne voyant pas] en quoi parler d'elle pourrait être tabou. Tout comme cela n'est pas tabou pour François de la croiser à New York".

Cette dernière phrase est assez étonnante lorsqu'on sait que le Président avait fait demi-tour avec son équipe lorsque celle-ci avait aperçu Ségolène Royal sur son chemin, puis ne s'était par la suite pas exprimé sur cet épisode qualifié par beaucoup d'"ubuesque".

La tabou est donc levé et pourtant, nous n'en saurons pas davantage...

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