Zone interdite ce soir : Quand les femmes paient pour être aimées

Publié le Dimanche 27 Mars 2011
Zone interdite ce soir : Quand les femmes paient pour être aimées
Zone interdite ce soir : Quand les femmes paient pour être aimées
L’amour tarifé n’est plus réservé aux hommes. Avec l’évolution d’Internet, de plus en plus de femmes, seules, trop occupées ou en manque d’affection, paient pour partager un moment d’amour avec un homme. C’est ce thème qu’a choisi d’aborder « Zone Interdite » ce soir, intitulé « quand les femmes paient pour être aimées ».
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Cette pratique n’est pourtant pas si nouvelle. En effet, dès le début des années 60, à l’aube de l’émancipation des femmes, bon nombre d’entre elles choisissent d’assumer pleinement leur sexualité. C’est en 70 que le terme « escort boy » fait son apparition. A Paris, lors de bals appelés « bals nègres » les femmes mûres rencontraient de jeunes hommes (ancêtre des cougars ?).

De nos jours, ce phénomène s’intensifie avec l’évolution d’Internet. Désormais, sur la toile, des dizaines de sites spécialisés en rencontres tarifées voient le jour. Des hommes candidats se désignent « escort boy » et proposent aux inscrites des dîner aux chandelles, après-midi shopping, massages coquins et prestations sexuelles, pour une centaine d’euros. Ses hommes qui offrent leur corps ne sont pas forcément dans le besoin, mais considèrent leur corps comme « un capital à exploiter sans complexe ».

Cette pratique est de plus en plus recherchée : selon l’outil Google Insight, la recherche « Escort boy tarifs » a progressé de 450% en 2010. Face à cette nouvelle tendance, certains hôtels à Paris et dans d’autres villes de France ont mis en place le système « Day use » : louer des chambres pour seulement quelques heures dans la journée.

Rendez-vous ce soir, à 20h45 !

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