Nicolas Bedos raconte sa nuit avec Julie Gayet

Publié le Vendredi 07 Février 2014
Nicolas Bedos raconte sa nuit avec Julie Gayet
Nicolas Bedos raconte sa nuit avec Julie Gayet
Dans cette photo : Nicolas Bedos
« Notre petite histoire à nous. Celle dont tout le monde se fout ». Dans le magazine Elle, Nicolas Bedos raconte une histoire inattendue : celle de son coup de cœur pour l'actrice Julie Gayet et comment tous deux ont passé une nuit... l'un à côté de l'autre.
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Il est de tous les sujets. Dans le magazine Elle, Nicolas Bedos raconte une histoire inattendue : celle de son coup de cœur pour l’actrice Julie Gayet qu’il appelle - s’adressant à l’actrice dont tout le monde parle : « notre petite histoire à nous. Celle dont tout le monde se fout ».

Le trublion de la télévision serait ainsi tombé « très amoureux » de l’actrice au cinéma en 2004 en visionnant Clara et moi, une histoire d’amour que vit son personnage avec Julien Boisselier. Elle incarne alors pour Nicolas Bedos « celle qu’on rêve d’épouser mais qu’on n’a pas forcément envie de bousculer dans un lit ». Mais c’est en visionnant Lovely Rita, « film très facultatif » selon Nicolas Bedos, qu’il aurait eu une révélation : « tu engonças mon jean de brutales érections », écrit-il, poète. Julie Gayet devenant alors à ses yeux « celle qu’on rêve d’épouser dans un lit ».

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« Des aventures avec des hommes « laids, mais sublimes » ! »

Ce n’est que des années plus tard que tous deux auront l’occasion d’en débattre après une rencontre au théâtre : « J’avais allumé des dizaines de bougies à chauffe-plat, me prenant pour Musset face à Rachel », raconte Nicolas Bedos. Julie Gayet aurait beaucoup parlé ce soir-là, se « flattant d’avoir eu des aventures avec des hommes « laids, mais sublimes ! » ». Incapable, dit-il, de faire « taire, d’un baiser, cette bouche si loquace », Nicolas Bedos lui aurait même proposé de « poursuivre (son) débat à l’horizontale dans (sa) minuscule chambre de bonne ».

« Il y a fort à parier que (sa) carrière soit terminée »

Ses espoirs seront déçus, il ne se passa finalement rien ou si peu dans cette chambre de bonne. « C’est à peine si nos mains, attendries par l’approche du sommeil, s’entremêlèrent. Je ne suis donc pas en train d’écrire dans Elle que j’ai passé la nuit avec Julie Gayet : je suis en train d’écrire que je l’ai passée “à côté d’elle” ».

« La politique est le poison des vedettes »

Dans sa lettre à « Julie G. », Nicolas Bedos revient, enfin, sur l’histoire qu’on prête à l’actrice et au président de la République. Et si le chroniqueur dit avoir espérer que « cette soudaine notoriété […] contraigne ces frileux feignasses du cinéma français à (lui) confier des rôles plus épais », selon lui, « il y a fort à parier que (sa) carrière soit terminée ». Et d’ajouter : « La politique est le poison des vedettes : qui s’y colle s’y empale ; demande à Pulvar, Sinclair, Schönberg, Genest ou Bruni ».

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