Valérie Trierweiler soutient Olivier Falorni contre Ségolène Royal sur Twitter

Publié le Mardi 12 Juin 2012
Valérie Trierweiler soutient Olivier Falorni contre Ségolène Royal sur Twitter
Valérie Trierweiler soutient Olivier Falorni contre Ségolène Royal sur Twitter
Dans cette photo : Valérie Trierweiler
La journaliste et compagne de François Hollande Valérie Trierweiler a déclaré sur Twitter son soutien au candidat socialiste dissident rochelais Olivier Falorni, qui se présente contre Ségolène Royal dans la bataille législative.
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En pleine bataille législative, et alors que Ségolène Royal se retrouve en danger dans la 1re circonscription de Charente-Maritime, Valérie Trierweiler, la compagne de François Hollande, a adressé mardi un message d'encouragement au dissident PS, Olivier Falorni, qui se présente face à l’ancienne élue des Deux-Sèvres. « Courage à Olivier Falorni qui n'a pas démérité, qui se bat aux côtés des rochelais depuis tant d'années dans un engagement désintéressé », a écrit sur son compte Twitter à 11H56 la première Dame. Un message d’abord attribué à un piratage de son compte, avant que Madame Trierweiler ne confirme qu’il était bien d’elle auprès de l’AFP, vers 12h40. La surprise a été réelle sur Twitter et dans l’entourage du président, certains parlant même d’un « Twittergate » pour Mme Trierweiler face à ce qui ressemble fort à une scène de ménage au sommet de l’Etat. « François me fait totalement confiance. Sauf sur mes tweets ! Certains aimeraient que je réagisse moins sur ce réseau social, mais tout le monde respecte ma liberté. J'ai du caractère, on ne peut pas me brider », avait-elle confié, le 28 avril, à Femme actuelle.
Ces encouragements en 140 signes arrivent alors que François Hollande a apporté son soutien à Mme Royal, arrivée en tête du premier tour dans la 1re circonscription de Charente-Maritime et pourtant mise en ballottage par ce dissident. Interrogée sur BFM-TV mardi matin, Ségolène Royal avait indiqué que le président François Hollande l'avait appelée « bien évidemment » et la soutenait « bien évidemment », ce qui est « tout à fait normal ».

Valérie Trierweiler

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