"Kate" de Michael O'Mara : le livre qui noircit l'idylle de Kate et William

Publié le Jeudi 11 Juillet 2013
"Kate" de Michael O'Mara : le livre qui noircit l'idylle de Kate et William
"Kate" de Michael O'Mara : le livre qui noircit l'idylle de Kate et William
Dans cette photo : Kate Middleton
Le journaliste britannique Michael O'Mara publie cette semaine un essai sur la période trouble du couple royal. Intitulé « Kate », le livre cherche à démontrer que le prince William n'a pas toujours été  le gentleman qu'on imagine avec Kate Middleton. En 2007, lors de leur période de rupture, le duc de Cambridge aurait été un peu trop loin dans la jouissance de sa liberté.
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Le brûlot ne manquera pas d’agacer la Reine, et de blesser la future maman dont la date d'accouchement approche. Mais qu’importe, en cette période prénatale, tout est bon pour alimenter la conversation nationale autour de Kate et William, quitte à exhumer les vieux dossiers.
Le journaliste Michael O’Mara ne s’en est pas privé en allant fouiner dans les jeunes années du couple le plus populaire de Grande-Bretagne. L’auteur rappelle ainsi dans son ouvrage, titré sobrement Kate comme pour mieux atteindre la princesse, que les deux amoureux ont connu quelques errances en 2007.

« Il voulait ridiculiser Kate »

Alors qu’ils sont ensemble depuis quatre ans, le  Prince Charles souffle à l’oreille de son fils et futur roi qu’il serait temps d’officialiser la chose et de placer une couronne sur la jolie tête de Kate. William choisit plutôt de prendre la tangente et s’éloigne pour profiter de sa liberté. Le journaliste écrit qu’à cette époque-là, le jeune Prince « fréquentait les boîtes de nuit où il multipliait les conquêtes. William a flirté avec d’innombrables jeunes filles ».

Selon Michael O’Mara, William aurait même manqué de respect à son ex, en se lâchant un peu trop : « lors d’une sortie en boîte, il s’est mis à danser sur une table en criant : "je suis libre !" Il voulait ridiculiser Kate », commente l’auteur, qui cherche visiblement à écorner l’image lisse et travaillée de William. De là à penser « Tel père, tel fils », il n’y a qu’un pas.

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