Alors qu'il discutait avec le maire Front national (FN) de Cogolin (Var) Larc-Etienne Lansade, peu avant une réunion publique organisée hier par le parti frontiste au Palais de l'Europe à Marseille, Jean-Marie Le Pen a livré à l'édile sa solution pour endiguer « le risque de submersion » de la France et le « remplacement de la population qui est en cours ». Le président d'honneur du FN a estimé : « Il n'est jamais trop tard, mais il est bien trop tard quand même ». Et le fondateur du parti d'extrême-droite d'en appeler au virus réapparu en Afrique : « Monseigneur Ebola peut régler ça en trois mois ».