"Merci pour ce moment" : les femmes désapprouvent le best-seller de Valérie Trierweiler
Les Français seraient-ils schizophrènes ? Alors qu’ils s’arrachent Merci pour ce moment, le livre de confidences de Valérie Trierweler sur son histoire d’amour avec François Hollande, ils affirment parallèlement désapprouver ledit ouvrage. Déjà écoulées à plus de 170 000 exemplaires et aujourd’hui en rupture de stock, les témoignages de l’ex-première dame ont pourtant immédiatement trouvé leur public, hissant le livre au rang de best-seller une semaine seulement après sa sortie, le 4 septembre dernier.
Une cote de popularité au plus bas, un livre en tête des ventes
Mais, selon le dernier baromètre YouGov réalisé pour Le Huffington Post et i>Télé, 52% des Français ne verraient pas d’un très bon œil la décision de la journaliste de Paris Match de dévoiler l’intimité de sa relation avec le président de la République. Un point de vue qui varie toutefois fortement au gré des affinités politiques des sondés. Ainsi, alors que respectivement 56% et 54% des partisans de l’UMP et du Front national approuvent Valérie Trierweiler, seuls 25% des militants d’extrême gauche et 20% des socialistes partagent cet avis. Et, à ce sujet, les plus dures avec l’ex-compagne du chef de l’État, sont les femmes. En effet, elles ne sont que 30% à être en accord avec elle. Un taux qui grimpe à 39% s’agissant des hommes.
>> "Merci pour ce moment" : 50 nuances de François Hollande <<
D’ailleurs, celle qui n’a jamais vraiment réussi à se faire une place dans le cœur des Français en plus d’un an à l’Élysée, voit sa cote de popularité s’effondrer encore un peu plus avec cette publication. Le sondage révèle ainsi que seules 25 % des personnes interrogées ont aujourd’hui une image positive de Valérie Trierweiler, tandis que 55% la juge négativement. Et, une fois de plus, ce sont les femmes qui sont les plus sévères. À la question « Diriez-vous que vous avez une image positive ou négative de Valérie Trierweiler ? », les hommes ont été 29% à choisir la première proposition. Les femmes, elles, n’étaient que 21% dans ce cas.
