Kung-Fu vaginal : des vertus de la musculation du vagin à la chinoise

Publié le Lundi 03 Février 2014
Kung-Fu vaginal : des vertus de la musculation du vagin à la chinoise
Kung-Fu vaginal : des vertus de la musculation du vagin à la chinoise
On pense rarement au vagin de la femme lorsqu'il s'agit de Kung-Fu, mais à tort, semble-t-il ! « Kung » est un mot chinois qui signifie « homme qui travaille son corps avec art », dans le but de prévenir ou de traiter la maladie, par des mouvements, des massages, des frictions, des vibrations et même par des mouvements passifs. Depuis des millénaires, cette tradition chinoise inclut des techniques spécifiques pour les femmes, résumées sous l'appellation, certes inattendue, de Kung-Fu vaginal.
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Les organes sexuels sont chez les Chinois les gardiens d'une bonne santé générale, (c'est aussi la raison pour laquelle on nomme les 5 vertèbres soudées qui tiennent nos organes le « sacrum » : le sacré). De la même façon que le sexe sert à donner la vie, il est aussi le gardien de notre bonne vitalité. C'est la raison pour laquelle reines et concubines, en Chine, recevaient un très exclusif enseignement du Kung-Fu vaginal, qui ne nécessite ni mouvements acrobatiques ni jetés de jambes, mais consiste à insérer une pierre polie, ou mieux, un œuf de Jade. Celui-ci renforce le muscle pubo-coccygien (zone périnéale) en vue d'une jeunesse éternelle et d'une vie sexuelle particulièrement riche et épanouie, où l'art de donner du plaisir et d'en recevoir est à son paroxysme. La légende veut que ces femmes atteignaient la ménopause avec des organes sexuels aussi serrés et résistants que ceux d'une toute jeune femme.

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Elles inséraient l'oeuf (commençant par la plus grande taille pour bien le sentir, puis, au fur et à mesure que le vagin se tonifie, des œufs de plus en plus petits) en introduisant d'abord la partie la plus large. Elles pratiquaient un certains nombres d'exercices, comme par exemple l'expulser partiellement à chaque expire, et de faire remonter à chaque inspire, ou le mettre avant de se coucher, puis une fois allongées, faire des séries de 9 contractions des muscles, repétées trois fois, le gardant ensuite toute la nuit. La même pratique peut être faite de jour, avec le plaisir supplémentaire de sentir une douce caresse interne dans les lieux les plus inappropriés. Tout en renforçant les muscles, ces différentes pratiques augmentent la lubrification, donnent plus de plaisir sexuel, augmentent la production naturelle d'hormones.

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Les pratiques sont en tous points similaires à celles recommandées avec les boules de Geisha, le poids en plus (c'est la raison pour laquelle les femmes qui utilisent cet œuf de nos jours s'initient d'abord chez elles, pour ne pas risquer de le perdre en public). Elles n'hésitaient pas à le garder pendant les rapports, procurant plus de plaisir au partenaire comme à elles-mêmes.

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Aujourd'hui, les pratiques ne sont plus réservées à la cour et s'exportent partout dans le monde. Nombreuses sont les femmes qui remettent à jour l'art de ce Kung-Fu bien particulier, certaines pouvant décapsuler une bouteille de bière ou soulever des poids allant jusqu'à 14 kg (record mondial détenu par la gymnaste Tatyana Kozhevnikova) ! Aux Etats-Unis, Kim Anami, qui enseigne la pratique, taquine les femmes avec une vidéo postée sur son site, les mettant au défi de lancer des balles de ping-pong avec leur vagin. Pour elle, 99,9% des femmes en sont incapables, d'où le fait que tant se plaignent de ne pas avoir les orgasmes dont elles rêvent. Si la démonstration n'a rien des délicatesses de l'art érotique chinois, elle rappelle malgré tout que, quel que soit l'âge et l'état de la libido, l'équilibre physique et mental passe aussi par ce qui est la bonne forme de notre essence même.