Salut les Terriens : pour Cristina Cordula, le style des politiques “ça ne va pas du tout” - en vidéo
Le « Ma chérie » de Cristina Cordula est peut-être aussi connu à la télévision que le « Au revoir » de Valéry Giscard d’Estaing. La Brésilienne, ancienne mannequin, modéliste et aujourd’hui styliste et relookeuse sur différentes émissions du groupe M6. Sur le plateau de « Salut les Terriens », elle a été soumise à un interrogatoire sur le style des hommes politiques par Thierry Ardisson. Le premier à avoir eu les « faveurs » de Cristina Cordula n’est autre que le président de la République, François Hollande. Alors la photo montrée par Canal Plus ne le mettait pas en valeur mais la styliste a quand même dit que « comme il n’est pas très grand, ça tasse ». Son concurrent lors des élections de 2012, Nicolas Sarkozy a reçu plus de louanges : « moi personnellement, je pense qu’il est très correct. Je parle de staïle einh, pas de politique ».
Les politiques subissent le regard avisé de Cristina Cordula
Celui qui pourrait venir contrecarrer les plans de retour en politique de Nicolas Sarkozy, Jean-François Copé, a lui aussi subit les foudres de la styliste. « Le rouge ne lui va pas du tout », a en tout cas critiqué Cristina Cordula. L’homme qui a reçu le plus de compliments est sûrement Vladimir Poutine, qui a d’autres choses à faire en ce moment que de s’occuper de style vestimentaire. Avec une photo de lui torse nu, la Brésilienne se montre ébahie : « j’étais étonné, c’est incroyable, on ne pouvait pas imaginer, on découvre une autre facette ».
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Cristina Cordula a ensuite montré un regard très critique envers Roselyne Bachelot et Eva Joly. Concernant l’ancienne ministre des sports, la styliste a tenu tout de même à signaler qu’elle avait énormément changé par rapport à la photo proposée. « Elle est très bien, elle a beaucoup maigri. Elle s’est relookée, même si là ce n’est pas bon ». Le pire vient avec Eva Joly. « Alors là, c’est compliqué. Les lunettes ne vont pas du tout, il faut changer, mais c’est son image de marque, mais ça marche pas ». Les politiques sont rhabillés pour le printemps.
