Enora Malagré, Benjamin Castaldi et Arthur : ces animateurs détestés des Français

Publié le Vendredi 04 Avril 2014
Enora Malagré, Benjamin Castaldi et Arthur : ces animateurs détestés des Français
Enora Malagré, Benjamin Castaldi et Arthur : ces animateurs détestés des Français
Dans cette photo : Enora Malagré
Comme chaque année, le fameux baromètre du PAF est tombé. Et à l’heure du bilan, le constat est amer, les questions fusent. Enora Malagré, Benjamin Castaldi et Arthur pourront-ils se remettre d’une telle déconvenue ? Doit-on remanier en profondeur le petit écran ? Pour ou contre des animateurs « de combat » ?
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Bah, c’est pas gentil. Et puis méchamment contradictoire. De deux chose l’une, soit les directeurs des chaînes sont totalement autistes, hypothèse somme toute probable, soit le sondage commandé par le magazine Stratégies sur la popularité de nos chers animateurs et animatrices est une parfaite resucée des plus belles opérations d’enfumage de la CIA. Vous êtes un perdus ? Et bien nous aussi… Comment expliquer que les monstres sacrés du petit écran que sont Benjamin Castaldi et Arthur, digne successeurs des Philippe Risoli et autre Patrick Sabatier, ainsi que l’espoir de toute une génération, la charmante Enora Malagré, obtiennent aussi peu d’adhésion populaire. Des chiffres aussi implacables que proprement incompréhensibles.


Michel Cymes et Frédéric Lopez ou l’insupportable normalité

Jugez plutôt : Castaldi serait ainsi l’animateur le plus ennuyeux du PAF pour 24% des sondés, l’un des plus démodés (21%), mais aussi des plus antipathiques (15%). Ouch ! Du côté d’Arthur, décidément bien maltraité par ces enfants de la télé qu’il a tant divertit, pas de quoi non plus faire le fier-à-bras. Animateur le moins sympathique pour 16% des téléspectateurs interrogés, mais aussi l’un des plus arrogants (20%). Une véritable gifle pour le « pote de Hanouna »… Quant à Enora Malagré, ne tirons pas, s’il vous plaît, sur cette ambulance qui file on ne sait où toutes sirènes hurlantes : arrogante (26 %) et antipathique (15 %). Après l'échec de son premier prime sur D8, la semaine est raide, c'est incontestable.
Surtout lorsqu’on constate qu’à l’inverse, ce sont les placides et si bienveillants Michel Cymes et Frédéric Lopez qui tirent les marrons du feu. Le genre de gus qui coupe rarement la parole à ses invités, bosse consciencieusement ses sujets, ne fait preuve d’aucune suffisance et ne parle jamais à tort et à travers. Des gens qui semblent horriblement « normaux », en fait. Pouah ! Quel vilain mot…

Quand Enora Malagré joue au journalisme avec Pharell Williams, savoureux…





Quand Benjamin Castaldi se fait mettre la « tête au carré » en plein direct, violent…






Quand Arthur dit à un petit jeune d' «apprendre à fermer [sa] gueule », fébrile…