TPMP : Cyril Hanouna a eu très peur pour Gilles Verdez
Il y a eu comme un léger malaise sur le plateau de Touche pas à mon poste jeudi dernier. Présent aux côtés de toute l’équipe, l’hypnotiseur Cyril Arnaud en a profité pour jouer quelques tours aux chroniqueurs. Et si cette séance d’hypnose improvisée a plutôt réussi à Bertrand Chameroy et Camille Combal, le pauvre Gilles Verdez n’a pas du tout bien réagi. En larmes, le chroniqueur spécialiste du ballon rond a perdu tous ses repères !
Ce lundi soir (8 décembre), Cyril Hanouna est donc revenu sur cet « incident » qui avait mis le public comme les chroniqueurs très mal à l’aise. « Gilles, est-ce que ça va mieux depuis jeudi ? Parce qu'on était inquiet, je vous ai appelé même jeudi soir, je vous ai tenu la main, on était bien tous les deux. J'étais un petit peu votre Fatouna (compagne du chroniqueur, ndlr) », a d’abord lancé le présentateur vedette de D8 et nouvel ennemi d'André Manoukian.
« On a eu très, très peur pour notre Gillou »
Très rapidement, celui qui a pris pour habitude de tacler Rising Star, a tenu à rassurer les téléspectateurs : « Ça va mieux, ça va mieux. Ça a été un peu difficile en sortant de l’émission. On n’est plus vraiment soi-même, on ne sait plus où on est. On est déboussolé en fait, à la fois endormi et dans un autre monde ». De son côté, Cyril Hanouna a reconnu qu’il y avait eu « malaise sur le plateau », avant d’ajouter qu’il s’était inquiété pour son chroniqueur : « Moi j’étais sûr que ça n’allait pas du tout marcher, que ça n’allait être que de la vanne. Et ça a marché au-delà de ce qu’on pensait. (…) On a tous eu très, très peur pour notre Gillou, qu’on aime très, très fort ».
Finalement, Gilles Verdez a conclu : « Tout le monde a été autour de moi, toute l'équipe, après l'émission. Ça, ça a fait beaucoup de bien et le week-end a permis de décompresser. C'est vrai que c'est très étrange parce qu'on ne s'appartient plus et, après - pendant le moment, on ne sait rien -, on réalise que quelqu'un a pris le contrôle de vous, de sa volonté. Et ça, a posteriori, c'est quand même un peu flippant ».
