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L'épouse du gouverneur de Californie, Jennifer Siebel Newsom, raconte son viol au procès Weinstein

"Je suis comme une poupée gonflable. Il met ses doigts à l'intérieur de mon sexe, je sers les jambes mais il continue alors qu'il sait que je n'ai pas donné mon consentement", a poursuivi Jennifer Siebel Newsom.
"Je suis comme une poupée gonflable. Il met ses doigts à l'intérieur de mon sexe, je sers les jambes mais il continue alors qu'il sait que je n'ai pas donné mon consentement", a poursuivi Jennifer Siebel Newsom.
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L'épouse du gouverneur de Californie, Jennifer Siebel Newsom, raconte son viol au procès Weinstein
L'épouse du gouverneur de Californie Jennifer Siebel Newsom raconte son viol au procès Weinstein
La plaignante explique avoir rencontré l'ancien patron de Miramax lors du Festival de Toronto, en septembre 2005, alors qu'elle était actrice et productrice.
Lors d'un premier et très médiatisé procès tenu l'an dernier, l'ancien producteur Harvey Weinstein fut condamné à 23 ans de prison.
Désormais se tient un second procès le mettant en cause. Est venue témoigner l'épouse du gouverneur de Californie Jennifer Siebel Newsom, 48 ans.
Harvey Weinstein et elle auraient parlé travail, et ce dernier aurait par la suite proposé à l'actrice de se revoir, dans sa suite à l'hôtel Peninsula, à Beverly Hills.
Là-bas, Harvey Weinstein l'aurait accueilli... En peignoir. C'est dans sa suite que l'ancien magnat hollywoodien l'a agressé sexuellement, lui touchant les seins tout en se masturbant.

Jennifer Siebel Newsom relate : "Il me touche les seins, il se caresse. Je tremble, je suis frigide. Je suis une pierre. C'est mon pire cauchemar".
"Je suis comme une poupée gonflable. Il met ses doigts à l'intérieur de mon sexe, je sers les jambes mais il continue alors qu'il sait que je n'ai pas donné mon consentement", a poursuivi Jennifer Siebel Newsom.
"Il a essayé de me dire que ça marchait comme ça dans ce métier. D'une certaine manière, je me sentais piégée", a encore relaté la plaignante.
La plaignante le décrit comme un homme "puissant" qui était "au sommet de l'industrie". C'est pour ces mêmes raisons qu'elle n'a pas osé porter plainte.