"Quand je me regarde dans un miroir, il n'y a jamais d'autosatisfaction"
"Je vois beaucoup de défauts, des choses qui ne sont ni parallèles, ni bien rangées, beaucoup de lignes floues, ça ne va pas du tout"
"Le matin, je me dis : "Va vite te recoucher, n'inflige pas cette tronche au monde"
"J'ai du mal avec ma gueule. J'ai du mal avec mes cheveux, j'ai du mal avec mes dents écartées, j'ai un visage très large, j'ai un double menton"
"J'ai l'impression que pour plaire au cinéma, il faudrait avoir un visage un peu plus fin, des traits fins, que je n'ai pas du tout", a développé Kev Adams dans Ciné-Télé Revue.
Un échange moins anodin qu'il n'en a l'air. Idole des jeunes sur les réseaux sociaux, Kev Adams semble prendre le contrepied de la "philosophie Instagram" selon laquelle tout serait beau, parfait, filtré...