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Ce palmarès épingle les hommes politiques les plus sexistes

Ce titre ironique se réfère à la réplique décochée en février dernier par Gérald Darmanin à la journaliste Apolline de Malherbe. Une réplique qui avait jugée paternaliste et sexiste.

Ce titre ironique se réfère à la réplique décochée en février dernier par Gérald Darmanin à la journaliste Apolline de Malherbe. Une réplique qui avait jugée paternaliste et sexiste.

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© Abaca
Ce palmarès épingle les hommes politiques les plus sexistes
Ce palmarès épingle les hommes politiques les plus sexistes

"Ça va bien se passer". C'est le nom ironique d'un palmarès établi par l'Observatoire des violences sexistes et sexuelles, récompensant les pires pépites sexistes du monde politique.

Ce titre ironique se réfère à la réplique décochée en février dernier par Gérald Darmanin à la journaliste Apolline de Malherbe. Une réplique qui avait jugée paternaliste et sexiste.
Les noms des catégories sont bien sentis : "Toutes des hystériques", "Liberté d'importuner", "Petit ange parti trop tôt", "J'accuse - interprétation masculine"... Les vrais auront la réf'.
Au sein de ce palmarès les personnalités médiatiques ne manquent justement pas : Julien Bayou, Damien Abad, Eric Dupond-Moretti, Eric Zemmour...
Mais aussi Adrien Quatennens, qui fait l'objet d'accusations accablantes émanant de son ex compagne.
Parmi celles qui remettent les prix, on retrouve des noms bien connus : la romancière Wendy Delorme, l'actrice Corinne Masiero, la réalisatrice Andréa Bescond...
Mais aussi la journaliste Hélène Devynck, l'une des accusatrices de PPDA.
"Ce n'est pas une bouffonnerie, l'approche est d'abord journalistique : on ne parle que de ce qui est documenté, sourcé, rendu public", explique Alice Coffin, qui entend bien dénoncer l'impunité dont font l'objet les présumés agresseurs.
Organisée le 25 novembre dernier, cette remise de prix diffusée en direct sur le site de l'excellente revue La Déferlante s'inscrit dans la droite lignée de #MeTooPolitique.