Claire Hedon fustige là "des intrusions quotidiennes qui privent les enfants de leur capacité à définir leur propre image et leur identité".
"Les réseaux sociaux soulèvent aussi de nouvelles questions : on a l'impression que le journal intime qui, avant, restait dans la chambre, est mis à la disposition de tout le monde..."
Selon la Direction générale de l'enseignement scolaire (Dgesco), 25 % des collégiens auraient ainsi déjà connu au moins une atteinte à leur vie privée en ligne. C'est inquiétant.