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Faire le strict minimum au boulot : le "quiet quitting" est-il une bonne solution ?

En vérité, il s'agit simplement de bosser en respectant ses horaires de travail, sans déborder, sans laisser sa vie pro envahir sa vie perso.
En vérité, il s'agit simplement de bosser en respectant ses horaires de travail, sans déborder, sans laisser sa vie pro envahir sa vie perso.
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Faire le strict minimum au boulot : le "quiet quitting" est-il une bonne solution ?
C'est quoi le quiet quitting ?
Faire le strict minimum au boulot : le "quiet quitting" est-il la solution ?
En vérité, il s'agit simplement de bosser en respectant ses horaires de travail, sans déborder, sans laisser sa vie pro envahir sa vie perso.
Un phénomène notamment relaté sur TikTok
Réseau social où s'est également exprimé un autre phénomène : le fait de filmer ses démissions en direct. La "valeur travail" est contestée par les nouvelles générations.
"Les adeptes du quiet quitting sont des salariés qui refusent que leur boulot soit au centre de leurs préoccupations"
"Ils décident alors de ne pas démissionner, mais de ralentir la cadence pour préserver leur santé mentale"

C'est une répartie cinglante à la "culture du burn out", cette idée de "se tuer à la tâche".

Mais aussi à la culture de l'entreprise et ses dérives toxiques, la précarité grandissante, les publications Linkedin, le culte de la productivité
C'est également le signe que la jeunesse d'aujourd'hui "n'accepte plus de travailler n'importe comment et à n'importe quel prix"