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"Il aimait à l'excès" : pourquoi les propos de Jacques Legros sur PPDA indignent

Florence Porcel, à l'origine de la première plainte, a réagi : "Dans ce 'pourvu que Poivre ne la croise pas', il y a "sinon il va lui arriver du mal". Tout son entourage savait donc qu'il pouvait faire du mal aux femmes".
Florence Porcel, à l'origine de la première plainte, a réagi : "Dans ce 'pourvu que Poivre ne la croise pas', il y a "sinon il va lui arriver du mal". Tout son entourage savait donc qu'il pouvait faire du mal aux femmes".
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© Abaca
"Il aimait à l'excès" : pourquoi les propos de Jacques Legros sur PPDA indignent
"Il aimait à l'excès" : pourquoi les propos de Jacques Legros sur PPDA indignent
Les propos de Jacques Legros sur PPDA indignent sur Twitter
Sur Europe 1, le journaliste Jacques Legros est revenu sur "l'affaire PPDA"

Pour rappel, le célèbre ex-présentateur de JT fait l'objet d'une enquête préliminaire, constituée des témoignages de 23 femmes, dénonçant des viols, des agressions ou du harcèlement.

"Poivre on savait qu'il aimait les femmes jusqu'à l'excès", a commenté Jacques Legros

"A chaque fois qu'on voyait passer une jolie fille on se disait pourvue que Poivre ne la voit pas...".

"Poivre, on savait qu'il aimait les femmes jusqu'à l'excès, ça on le savait tous. Absolument tous".

Aimer, un verbe particulier quand il s'agit d'évoquer un homme accusé de violences sexuelles. Et ce lexique a d'ailleurs beaucoup fait réagir sur les réseaux sociaux.

"Non, il ne les aimait pas, ce n'est pas de l'amour, c'est de la prédation", a commenté une auditrice

Florence Porcel, à l'origine de la première plainte, a réagi : "Dans ce 'pourvu que Poivre ne la croise pas', il y a "sinon il va lui arriver du mal". Tout son entourage savait donc qu'il pouvait faire du mal aux femmes".

"Je ne suis pas juge. Je ne parle pas au nom de la direction de TF1 de l'époque", a encore précisé au micro d'Europe 1 Jacques Legros.

En mai dernier, il assurait sur France Inter : "Aujourd'hui, on a un respect pour les femmes qui me paraît élémentaire mais à l'époque elles ne parlaient pas. Et ce n'est pas un reproche".