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"Elle me traitait de poubelle" : les récits choquants de femmes exploitées par une famille du Qatar
Humiliations, insultes, mais aussi coups sont relatés : "J'ai été blessée à la lèvre et j'ai eu un bleu au torse"
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"Elle me traitait de poubelle" : les récits choquants de femmes exploitées par une famille du Qatar
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"Elle me traitait de poubelle" : les récits choquants de femmes exploitées par une famille du Qatar
"Elle me traitait de poubelle" : des employées philippines exploitées par une famille du Qatar
"Elle me traitait de poubelle, de fille de pute". Des employées philippines exploitées dans un appartement parisien par une riche famille originaire du Qatar accusent cette dernière de maltraitances physiques et morales systématiques.
Des femmes qui ont fini par fuir leurs oppresseurs, et relatent chacune auprès du Parisien un harcèlement moral systématique ainsi que des maltraitances diverses émanant de leurs patrons, de 2018 à 2019.
Des faits qui auraient notamment eu lieu dans un appartement du XVe arrondissement de Paris.
"Ils me disaient que les Philippins sont des personnes très sales. La mère me traitait de poubelle, de folle. Elle disait que je n'avais rien dans la tête", se remémore notamment Gloria.
Humiliations, insultes, mais aussi coups sont relatés : "J'ai été blessée à la lèvre et j'ai eu un bleu au torse"
"Nous ne mangions pas à notre faim. Ils nous donnaient les restes. Quand il n'y en avait plus, nous avions droit à du vieux pain ou du riz blanc. Dans mon pays, c'est ce qu'on donne aux animaux. C'était très humiliant"
Le quotidien de ces employées ? Travailler de dix-sept heures à dix-huit heures par jour, sept jours sur sept, sans pause ni congés, avec un seul repas par jour, sans être rémunérées.
Ces employées ont fini par s'échapper en 2019 et par porter plainte contre leurs anciens patrons en février 2019 pour des faits présumés de "traite d'être humain".
Soit, rappelle Le Parisien, la qualification pénale "de l'esclavage moderne".
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