Pourquoi les parents racisés seraient beaucoup plus fatigués

Les parents non-blancs seraient davantage enclin à éprouver stress et inquiétude. Et plus précisément, les mères non-blanches.

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Certains parents seraient beaucoup plus épuisés que d'autres

Certains parents seraient beaucoup plus épuisés que d'autres, révèle un récent sondage américain édifiant. Où il est question d'inégalités sociales et de discriminations.

On est pas tous égaux face à la parentalité. C'est ce que démontre un récent sondage américain ayant pris en compte la voix de pas moins de 3.757 parents. Une étude suggérant que les privilèges de classe influent sur l'expérience de la parentalité, et la santé mentale qui va avec. Mais comment ?

Les parents non-blancs seraient davantage enclin à éprouver stress et inquiétude. Et plus précisément, les mères non-blanches.

Des angoisses que partageraient moins les personnes blanches interrogées dans le cadre du questionnaire, portant sur leur santé, leurs craintes, le regard qu'ils vouent à leur progéniture...

Les parents noirs et hispaniques seraient plus susceptibles de craindre pour la sécurité de leurs enfants.

De même les parents à faible revenu sont beaucoup plus préoccupés par un large éventail d'angoisses - la crainte que leurs enfants soient victimes d'intimidation, kidnappés, battus, aient des ennuis avec la police par exemple - que les parents à revenu moyen ou élevé

Une donnée qui tend à considérer la portée politique et sociale de la charge mentale. Une charge étroitement liée aux discriminations que subissent les personnes concernées dans la société en général, au quotidien.

Cependant, ce sondage aboutit à une réflexion qui peut sembler contradictoire : plus les parents éprouvent des difficultés ou de l'anxiété à tenir leur rôle et toute la charge qui va avec, plus ils se sentent comblés !

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