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Jean-Pierre Elkabbach indigne en chargeant les accusatrices de PPDA

On peut voir là un exemple de "victim blaming" : le fait d'inverser la culpabilité, en jugeant les mots et attitudes des victimes, notamment des victimes de viol et d'agression sexuelle.
On peut voir là un exemple de "victim blaming" : le fait d'inverser la culpabilité, en jugeant les mots et attitudes des victimes, notamment des victimes de viol et d'agression sexuelle.
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© Abaca
Jean-Pierre Elkabbach indigne en chargeant les accusatrices de PPDA
Affaire PPDA : Jean-Pierre Elkabbach fait dans le victim blaming et ça ne passe pas
Interrogé dans "Quotidien" au sujet de "l'affaire PDDA", le journaliste Jean-Pierre Elkabbach n'a pas hésité à remettre en cause l'attitude "de certaines jeunes femmes".
Le journaliste a tout d'abord assuré : "Je ne vais pas l'enfoncer plus dans le destin tragique qu'il s'est fait mais quand je l'ai nommé il n'était pas le Patrick Poivre d'Arvor d'après3

"C'est quand il s'est installé pendant 20 ans à TF1 qu'il est devenu peu à peu ce qu'on a vu".

Avant d'ajouter afin d'expliquer le pourquoi de ce dont on accuse l'ex présentateur du JT : "C'est d'abord son tempérament, le pouvoir..."
"Et d'autre part aussi le comportement de certaines jeunes femmes, comme pour les chanteurs, qui viennent les chercher".

"Vous comprenez qu'on puisse être un petit peu choqués par ce que vous venez de dire, sur le fait que c'était la faute des victimes ?", a réagi la chroniqueuse Maïa Mazaurette
On peut voir là un exemple de "victim blaming" : le fait d'inverser la culpabilité, en jugeant les mots et attitudes des victimes, notamment des victimes de viol et d'agression sexuelle.

"Je n'ai pas dit des victimes", a rétorqué Jean-Pierre Elkabbach face à la journaliste.
"Mais vous ne pouvez pas nier que quand quelqu'un a du pouvoir, y compris les hommes politiques ou les artistes, il y a comme un mouvement qui tourne autour d'eux. À eux de ne pas provoquer, céder ou agresser"