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Pourquoi "M3GAN", la poupée tueuse du film d'horreur, est devenue une icône gay

Or, cette thématique de l'adoption "résonnerait pour beaucoup de gens dans la communauté gay, puisqu'elle rejoint l'idée de famille retrouvée", analysent les médias.
Or, cette thématique de l'adoption "résonnerait pour beaucoup de gens dans la communauté gay, puisqu'elle rejoint l'idée de famille retrouvée", analysent les médias.
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© Universal Pictures
Pourquoi "M3GAN", la poupée tueuse du film d'horreur, est devenue une icône gay
Comment "M3GAN", la poupée tueuse du cinéma, est devenue une icone gay
56 millions de dollars de recettes aux Etats-Unis, des critiques positives, une salve de publications virales sur les réseaux sociaux et un marketing tonitruant... M3GAN est le nouveau petit phénomène du cinéma d'horreur.
L'histoire d'une poupée tueuse, héroïne d'une production Blumhouse, studios à qui nous devons bien des séances tendax - American Nightmare, Get Out, Invisible Man...
Une nouvelle création imaginée par le cinéaste James Wan (Insidious, Conjuring, Malignant), et qui met en scène ni plus ni moins qu'une cyberpoupée. Cyberpoupée... Particulièrement aimée par la communauté LGBT sur les réseaux sociaux.
Mais pourquoi cela ? A cause de l'intrigue. Effectivement, M3GAN raconte l'histoire de Cady, une petite fille orpheline, qui va trouver en cette poupée une alliée.
Or, cette thématique de l'adoption "résonnerait pour beaucoup de gens dans la communauté gay, puisqu'elle rejoint l'idée de famille retrouvée", analysent les médias.
Avec son style de reine des abeilles et ses poses hyper féminines, "cette poupée est essentiellement une drag queen tueuse", affirment d'autres voix.
D'autres l'associent à l'esthétique "camp", qui se caractérise son excentricité, son goût prononcé de l'exagération et du kitsch. Un mot associé à bien des figures queer.
Par son apparence et ses danses, M3gan s'amuse des codes de la féminité prétendument "candide" et transforme le tout en jeu de massacre.
"M3GAN" est en salles depuis le 28 décembre en France.