"Dans les zones de conflits, 90 % des adolescentes risquent de ne plus aller à l'école. Déscolarisées, sans protection et livrées à elles-mêmes"
"L'invisibilisation de cette journée est regrettable. Tout commence à cet âge en réalité, sur les inégalités de genre, mais aussi le harcèlement de rue, les mariages forcés", a déploré l'actrice
"Quand les familles n'ont pas les moyens, ce sont les garçons qui vont faire des études... Malheureusement pour certains ce n'est pas leur sujet", poursuit-elle