Affaire Nelson Monfort : ses confrères de France 2 ne lui pardonnent pas

Publié le Lundi 07 Mars 2011
Affaire Nelson Monfort : ses confrères de France 2 ne lui pardonnent pas
Affaire Nelson Monfort : ses confrères de France 2 ne lui pardonnent pas
Dans cette photo : Nelson Monfort
Après avoir été suspendu d’antenne par France Télévisions pour avoir fait des « ménages » avec Areva et utilisé son image pour le site Athlenergy.com, les ennuis ne s’arrêtent pas là pour le chroniqueur qui est dans le collimateur de nombreux journalistes de France 2, qui dénoncent, entre autres, ses mensonges à l’égard des médias.
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Le calvaire continue pour le chroniqueur de France 2 Neslon Monfort. Dans une interview accordée au magazine Télé Star, le journaliste au service des sports de France Télévisions et élu SNJ-CGT Alain Vernon n’a pas été tendre avec le journaliste : « Nelson Monfort est un menteur. Il a enfreint les lois, car il n’a pas demandé d’autorisation à la direction pour collaborer à ce site, même s’il dit le contraire ».

Nelson Monfort, de son côté, s’est défendu en évoquant un malentendu : « J'avais évidemment fait la demande. Par malchance, son acheminement ne s'est pas bien fait. Cette demande d'autorisation a été demandée trop tard ». La plupart des journalistes lui ayant tourné le dos, Nelson Monfort peut néanmoins compter sur un ami et confrère de poids, Phillipe Candeloro, qui n’a pas hésité à prendre sa défense face à cette affaire : il a notamment affirmé qu’il ne présenterait pas les Championnats de monde de patinage si son ami n’était pas de la partie : « Par solidarité, je pense que je n'irai pas. D'autant que ce qui plait au public, c''est notre duo et pas seulement moi ». Une information très vite rectifiée par Daniel Bilalian, directeur des sports de France Télévisions, qui a assuré que quoi qu’il arrive, « Nelson Monfort sera bien aux Championnats du monde de patinage artistique aux côtés de Philippe Candeloro du 20 au 27 mars".

C’est le 14 mars prochain que le sort du journaliste sera révélé, suite au conseil de discipline qui aura lieu auprès de la DRH de France Télévisions. Le chroniqueur assure qu’il a « la conscience tranquille » car « [il n'a] rien fait de mal ».

Source : Jeanmarcmorandini.com

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