Valérie Trierweiler, apaisée, se sent enfin "utile" à l'Élysée

Publié le Jeudi 22 Novembre 2012
Centre de polémique depuis l'accession à la présidence de la République de son compagnon François Hollande, Valérie Trierweiler tente aujourd'hui de reconquérir le cœur des Français. Mercredi, sur les ondes des radios RTL et Europe 1, la Première dame a affirmé se sentir à sa place à l'Elysée.
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Valérie Trierweiler serait-elle en pleine opération de séduction de l’opinion publique ? On pourrait le croire au vu de ses dernières déclarations. La Première dame s’est en effet confiée mercredi sur les ondes des radios RTL et Europe 1, dévoilant une facette apaisée de sa personnalité. Se disant « soulagée de ne plus être un sujet de polémique », la journaliste de Paris Match a fait savoir qu’elle se « sentait bien » à l’Élysée. Elle a par ailleurs apprécié que la première conférence de presse du président François Hollande ne soit pas polluée par des questions d’ordre privé.

De retour sur le site de la présidence

De plus en plus sollicitée, Valérie Trierweiler indique avoir reçu plus de 170 courriers le mois dernier, auxquels elle tente de répondre personnellement. « Il y a beaucoup de requêtes qui concernent des femmes seules avec enfants et ensuite des femmes qui sont contentes de voir dans ce rôle (de Première dame, ndlr) une femme qu'elles considèrent comme une femme indépendante. C'est agréable d'être utile. J'avance pas à pas et j'espère dans la bonne direction ».

Justement, dans le cadre de sa fonction de Première dame, elle organisera prochainement deux dîners de gala à l'Élysée : le premier en faveur d'Action contre la faim, l'autre pour soutenir Aides, l'association de lutte contre le sida. Sans oublier des actions pour les enfants d'Afrique ou la Fondation Danielle Mitterrand, dont elle est l'ambassadrice. Enfin, preuve de son retour en grâce, Valérie Trierweiler devrait bénéficier d’ici aux fêtes de fin d’année d’un espace dédié sur le site de la présidence française ; cet espace avait été supprimé après l’affaire du tweet de soutien à Olivier Falorni.

Crédit photo : AFP/Archives

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