L'avocat du meurtrier présumé de Justine avance l'alcool pour "excuser" (et c'est honteux)
Ainsi, d'après une étude publiée en 2022 par l'association Mémoire traumatique et victimologie, 23% des Français considèrent que si des femmes ont pris de l'alcool ou de la drogue, cela déresponsabilise le violeur