"Ça me brûlait énormément. J'avais hypermal. Je ne pouvais plus dormir", témoigne Elise, brûlée au deuxième degré, précisant que sa peau "a commencé à cloquer, à partir"
"Les marques sont encore visibles. Je crains que ça reste définitivement. C'est grave, c'est de l'incompétence", poursuit Elise.
Au sein de la médecine, on prévient des risques encourus par la "IPL", surtout pour les peaus bronzées. "Lorsque vous être bronzée, le laser va brûler la peau, au lieu de s'attaquer à la mélanine du poil"