Manger c'est mieux que coucher ? Pour une femme sur quatre, la réponse est oui

Publié le Vendredi 02 Mai 2014
Manger c'est mieux que coucher ? Pour une femme sur quatre, la réponse est oui
Manger c'est mieux que coucher ? Pour une femme sur quatre, la réponse est oui
Sexe ou dessert, elles ont choisi : c'est en mangeant qu'elles atteindront l'orgasme. Selon un sondage Grazia exclusif mené avec l'Institut Harris Interactive, 74% des femmes préfèrent une bonne table à une partie de jambe en l'air. Pire (ou mieux ?) : plus d'une sur deux serait prête à choisir l'abstinence plutôt que le régime.
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Sur l’échelle de l’extase, le sexe a du souci à se faire. Avec un très honorable 7,1 sur 10, les femmes comme les hommes, interrogés par un sondage Grazia exclusif mené avec l’Institut Harris Interactive, ont placé très haut le plaisir de la chère. Au point de concurrencer le sexe ? Oui, répondent les sondées : 74% d’entre elles ont, en effet, affirmé préférer une bonne table à une partie de jambe en l’air. Et pour cause, pourquoi s’en priveraient-elles quand elles sont une sur quatre à prendre plus de plaisir en mordant dans un gâteau qu’en roulant sous la couette ?

Manger ou se masturber l’hypotalamus

Et si le chiffre peut surprendre, il n’étonne en rien les scientifiques : finalement, sexe ou dessert, notre cerveau n’y verrait que du feu et s’activerait avec tout autant de bonheur. Car ainsi que le rappelle le sexologue Gérard Leleu, dans les colonnes de Grazia, « chimiquement, il se passe la même chose au niveau du cerveau quand on vit un « orgasme culinaire » ou un orgasme sexuel. Lorsque l’on est triste et que l’on mange du chocolat, on ne fait rien de moins que se masturber l’hypotalamus ».

>> Cunnilingus, sodomie et frustrations : le point sur le sexe et les femmes en 2014 <<

Seuls 13% des hommes préfère manger à coucher

Alors coucher et manger, blanc bonnet ou bonnet blanc ? Non, répondent les sondés. Et sur la question, un désaccord se profile entre les sexes. Seuls 13% des hommes disent prendre bien plus leur pied en se mettant à table qu’au lit. Et s’il fallait vraiment choisir, ces messieurs seraient 54% à ne plus faire pitance pour s’offrir une nuit de sexe. Les femmes, elles, seraient plus de la moitié (57%) à préférer ne plus coucher plutôt que faire un régime.

Et si la solution était finalement de ne pas choisir ?