L'employé aurait notamment été licencié pour avoir refusé la "nécessaire participation aux séminaires et aux pots de fin de semaine"
Il a été convenu que son licenciement avait été causé par "l'exercice de sa liberté d'opinion et d'expression" et son "comportement critique" au sujet de ces apéros forcés.
L'employé en question travaillait alors pour Cubik Partners, un cabinet de conseil intervenant dans le domaine médico-social.