Un commentaire des plus déplacés que la ministre déléguée à l'égalité femmes-hommes Isabelle Rome a fustigé.
Et si on arrêtait d'objectifier les femmes politiques ? La proposition semble folle - imaginez un peu, de la politique sans sexisme - mais elle devrait être sérieusement examinée.
De Michèle Alliot-Marie, pointée du doigt pour son port du pantalon (oui) en 1972 à la misogynie subie par Edith Cresson dans les années 90, objet de commentaires déplacés sur ses tailleurs et ses collants, les femmes politiques ont toujours subi les mêmes remarques...