Une contestation aujourd'hui associée à la génie des échecs de 25 ans, native de Téhéran, et dix-septième joueuse mondiale en son domaine.
Cela fait effectivement de longs mois déjà que les iraniennes descendent dans les rues, retirent et brûlent leur voile...
"La loi iranienne sur le foulard obligatoire viole directement mes droits humains fondamentaux", avait déjà déclaré en 2018 la championne d'échecs indienne Soumya Swaminathan, durant la Coupe D'Asie des échecs prenant place en Iran.