Les bons pères ont des petits testicules

Publié le Mardi 10 Septembre 2013
Les bons pères ont des petits testicules
Les bons pères ont des petits testicules
Pour faire un bon papa, faut-il nécessairement avoir de petits testicules ? Peut-être bien, d'après les conclusions d'une étude de l'Emory University à Atlanta. Après avoir mesuré par IRM le volume des « valseuses » de plusieurs pères de famille, ils ont découvert que les pères les plus impliqués étaient ceux qui avaient les plus petits testicules.
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Envie de savoir s’il fera un bon père pour votre descendance ? Au lieu d’envoyer un SMS surtaxé au 8 22 15, lorgnez plutôt du côté de ses bijoux de famille. Une surprenante étude américaine révèle un lien entre la taille des testicules et la propension à être un bon papa.

Comment déterminer si un homme est un bon papa ?

Pour arriver à cette conclusion insolite, les chercheurs de l’Emory University (Atlanta, États-Unis) ont travaillé avec 55 pères de famille. Ils ont commencé par mesurer, grâce à une IRM, le volume de leurs testicules. Ils se sont ensuite attachés à savoir s’ils étaient de bons pères. Comment déterminer cette qualité ? Les scientifiques leur ont fait remplir un questionnaire, afin de déterminer à quel point ils étaient impliqués dans l’éducation de leurs enfants, et ont également observé l’activité cérébrale des papas alors qu’ils leur montraient des photos de leurs enfants. Ils ont ainsi pu savoir comment leur cerveau réagissait lorsqu’ils voyaient leur progéniture.

De gros testicules ne sont pas une excuse pour être un mauvais père

Pas de doute possible : les hommes dotés de petits testicules font de meilleurs pères. Pour expliquer cette conclusion, les chercheurs ont séparé les hommes en deux camps. Ceux ayant de gros testicules ont tendance à produire du sperme de meilleure qualité, ce qui leur demanderait beaucoup d'énergie. En revanche, l’homme aux petits testicules investira cette énergie dans l’éducation de ses enfants pour compenser. Cependant, pas de généralités qui tiennent pour James Rilling, principal auteur de l’étude : « La plupart des pères choisissent leur niveau d’implication dans l’éducation de leurs enfants. Ce sera peut-être plus dur pour certains de s’atteler à ces activités, mais ça ne les excuse en rien. » C’est dit !

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