15 trucs que seules les nanas aux cheveux bouclés comprendront

Publié le Lundi 25 Janvier 2016
Jack Parker
Par Jack Parker Rédadtrice
15 choses que seules les femmes aux cheveux bouclés comprendront.
15 choses que seules les femmes aux cheveux bouclés comprendront.
Les cheveux bouclés, c'est beau, c'est original, c'est glorieux, mais c'est aussi beaucoup, beaucoup de petites galères. En voici quinze, en guise d'échantillon.
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Avoir les cheveux bouclés est un privilège, un don du ciel, potentiellement une preuve de supériorité (ce n'est pas totalement vérifié mais c'est la rumeur qui court). Mais ça demande aussi beaucoup d'investissement personnel et de patience. La preuve en quinze points.

1- Ça demande de l'entretien. Beaucoup d'entretien.

Et parfois ça marche.
Et parfois ça marche.

2- On ne peut pas arranger sa coupe en un coup de brosse le matin.

Les cheveux bouclés se coiffent uniquement quand ils sont mouillés, sous la douche, et après on n'y touche plus. Un coup de brosse, et c'est la coupe de caniche assurée.

Non, ça ne marche pas.
Non, ça ne marche pas.

3- Notre humeur est directement liée au taux d'humidité dans l'air.

Parce que qui dit humidité dit frisottis dit coupe de chien mouillé. Et personne n'a envie de voir ça. D'autant que c'est IMPOSSIBLE à rattraper autrement qu'en repartant de zéro, donc merci bien.

Si on pouvait poser un RTT à chaque jour de pluie...
Si on pouvait poser un RTT à chaque jour de pluie...

4- On ne peut pas passer ses doigts dans nos cheveux sans rester coincé.

Oh, tu voulais me remettre une mèche derrière l'oreille pour faire comme dans les films ? Désolée, maintenant tu es mon prisonnier. Pour toujours. Si tu regardes bien sous la mèche de droite, tu croiseras peut-être mon ex.

Ceci ne reflète pas du tout la réalité.
Ceci ne reflète pas du tout la réalité.

5- On n'aura jamais de frange.

Oubliez.
Oubliez.

6- Ni de mèche.

Non.
Non.

7- Ni cette coupe à la mode que tout le monde se fait, abandonnez tout de suite.

Ça ne marchera pas.
Ça ne marchera pas.

8- On ne peut pas dormir chez quelqu'un à l'arrache.

Parce que le lendemain, on aura besoin de dix-huit produits pour redonner figure humaine à notre crinière avant de pouvoir mettre un pied dehors.

Cruel destin.
Cruel destin.

9- Le matin, on ne ressemble pas à Beyoncé mais à un mouton très en colère.

A peu près.
A peu près.

10- On doit subir des interrogatoires tous les deux jours.

"C'est naturel ? Tu laisses pousser depuis combien de temps ? Quand ils sont mouillés ils t'arrivent où ? T'as déjà essayé de les lisser ? C'est quoi ta routine capillaire ?" et la question à mille balles : "Comment tu fais pour les avoir comme ça ?"...hmmm, la génétique ?

Stop.
Stop.

11- Trouver un coiffeur qui maîtrise ce type de cheveu est une mission.

De base, on doit faire chier tout le monde pour que le coiffeur puisse au moins nous voir avec les cheveux secs avant d'y toucher, sinon c'est la panique.

Et on fait des caprices.
Et on fait des caprices.

12- D'ailleurs on a généralement une longueur de cheveux qui fonctionne, et c'est tout.

Trop court, c'est le champignon atomique, et trop long, c'est le Cousin machin qui est passé sur une bouche d'aération après une averse.

Du coup on en profite.
Du coup on en profite.

13- On achète plus d'élastiques que de papier toilette sur une année.

R.I.P. les millions d'élastiques perdus au combat dans notre crinière.

Adios.
Adios.

14- On a dû aller sur des forums spécialisés top secrets pour trouver notre routine beauté.

Et on a découvert le plopping, qui a changé notre vie (et on n'utilisera plus jamais de sèche-cheveux, cet outil du démon).

Ma tête quand j'ai découvert le plopping.
Ma tête quand j'ai découvert le plopping.

15- On doit réserver une journée entière pour se laver les cheveux.

Parce qu'il faut compter le shampoing, l'après-shampoing, le masque, puis les soins sans rinçage, la mousse ou la crème pour les boucles, le plopping et enfin le séchage à l'air libre.

Oui ça en vaut la peine.
Oui ça en vaut la peine.

Mais bon, au moins on nous envie et on nous fait plein de compliments, ça en vaut presque la peine.