Marc-Olivier Fogiel© Sipa
Mardi 7 avril, Marc-Olivier Fogiel recevait Anne Hidalgo sur son fameux Divan. La première femme maire de Paris est revenue sur son parcours professionnel et politique mais également sur des aspects plus personnels de sa vie, notamment son mari Jean-Marc Germain et ses enfants.
Mais la socialiste n'est pas la seule à s'être confiée publiquement. Son interlocuteur Marc-Olivier Fogiel est lui aussi régulièrement interrogé sur sa vie hors caméra. L'animateur est en effet marié depuis le 14 décembre 2013 à François Roelants, gérant d'une entreprise de relation publique. Les deux hommes sont parents de deux petites filles : Mila, 3 ans et demi et Lily, un an et demi.
Interrogé il y a quelques semaines par TV Magazine , l'animateur n'avait pas caché sa priorité : "Aujourd'hui, mon émotion la plus forte est quotidienne: c'est celle de voir mes deux filles. Je ne m'en suis toujours pas remis et je ne compte pas sacrifier l'essentiel". Un rapport à la paternité qui aurait "transformé" le journaliste. Malgré une forte exposition médiatique, ce dernier n'a "clairement pas envie de passer à côté de ma vie privée. (...) Ma priorité absolue, c'est d'avoir du temps pour ma famille".
Ayant lui même sept neuveux et nièces et étant trois fois parrain, Marc-Olivier Fogiel estime avoir désormais une certaine expérience des enfants. Sa meilleure amie Claire Chazal est d'alleurs la marraine de sa fille Mila. Un entourage soigneusement construit et auquel le présentateur tient, lui qui a connu une "enfance douloureuse" : "Il y a eu un moment où je n'ai plus craint d'être handicapé par mon passé. (...) Nous sommes une grande famille", a reconnu Marc-Olivier Fogiel auprès de Télé Star.
Si selon plusieurs médias, les deux enfants de l'animateur sont nées aux Etats-Unis par mère porteuse, l'intéressé a toujours tenu à combattre les rumeurs. Interrogé dans le Parisien en 2011 sur un éventuel recours à la gestation pour autrui, il avait déclaré : "Ce n'est pas la réalité. Je ne vais pas commenter des rumeurs encore moins quand elles sont infondées."
