Photos : Affaire Pélicot : la très controversée "avocate tiktokeuse" et "coach de vie" Nadia El Bouroumi interdite de pratique

Affaire Pélicot : la très controversée "avocate tiktokeuse" et "coach de vie" Nadia El Bouroumi interdite de pratique

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Affaire Dominique Pelicot : la très controversée "avocate tiktokeuse" et "coach de vie" Nadia El Bouroumi interdite de pratique

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Nadia El Bouroumi a été condamnée à un an de suspension avec sursis. Influenceuse, coach de vie, avocate controversée... Nadia El Bouroumi a suscité moult polémiques lors du procès des viols de Mazan ou affaire Dominique Pelicot. Dans une des vidéos de cette avocate de la défense, représentant deux des 51 accusés de cette affaire historique, on voit cette représentante de la Justice se déhancher sur la chanson "Wake me up before you go go" du groupe Wham

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Littéralement : "Réveille-moi avant de partir". Dans le cadre d'une affaire impliquant les viols sous soumission chimique de Gisèle Pelicot par Dominique Pelicot et des dizaines d'agresseurs sexuels. Nadia El Bouroumi avait également scandalisé par certaines déclarations. Comme sa remise en question du consentement de Gisèle Pelicot, suggérant l'espace d'une vidéo diffusée sur ses réseaux sociaux : "On a diffusé des photos de Madame dans des positions qui, effectivement... posaient problème, puisque depuis quelques jours, elle nous expliquait que jamais jamais jamais elle n’avait participé à quoi que ce soit !".

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Or, ce 23 avril, l'avocate était confrontée... A la justice. Et condamnée à un an de suspension.

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Un an de suspension avec sursis par le conseil régional de discipline de la cour d’appel de Nîmes. C'est ce qui a résulté du jugement de la très médiatisée avocate Nadia El Bouroumi. Mais pas du tout dans le cadre du procès des viols de Mazan : les faits considérés par la justice sont antérieurs à cela.

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Jour après jour, l'avocate rendait compte sous la forme de vlogs, sur TikTok, de l'audience. Un contenu abondamment suivi. Mais ce ne sont pas ces propos qui font l'objet de ces finalités juridiques. Non, mais le fait de se déclarer coach de vie, et plus précisément, selon la magistrate, d'avoir été "actionnaire d’une société commerciale dispensant des prestations de coaching alors que cette activité n’est pas connexe à la profession d’avocat".

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Face aux virulentes controverses qu'elle engendre, Nadia El Bouroumi affirme subir régulièrement "des menaces, du harcèlement, des insultes publiques". Et invoque la liberté d'expression.

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Pour rappel, en décembre dernier, Dominique Pelicot a été condamné à 20 ans de réclusion sur viols aggravés sur sa femme Gisèle après 4 mois de procès.