50 Shades of Grey : le pire des produits dérivés
Vous pensiez que les produits dérivés de 50 Shades of Grey, le film évènement de ce début d’année, n’étaient disponibles que dans les sex-shops et autres boutiques de lingerie coquine ? Détrompez-vous ! Le film adapté du roman érotique à succès d’E.L. James est une incroyable source d’inspiration pour les fabricants. Du body pour bébé au jeu de plateau en passant par le papier toilette, voici un catalogue non-exhaustif de ces objets pour le moins incongrus.
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Le body pour bébé
Vous avez envie de générer un petit malaise à la maternité ? Rien de tel que le body spécial 50 Shades of Grey avec l’inscription : « Il y a 9 mois ma mère a lu 50 Shades of Grey ». Variante : « Ma mère fait croire à tout le monde que Christian Grey est mon père ».
Le nounours
Toujours rayon puériculture, vous trouverez le nounours à l’effigie du héros du film, vêtu d’un costume cravate et tenant dans ses pattes un masque en satin et des menottes. Histoire de commencer l’éducation sexuelle de vos enfants sur de bonnes bases.
Le thé Earl Grey
Plus sage, le thé spécial Christian Grey, décrit comme « dominant et décadent » et inventé par Eleanor Justice est un mélange de rooibos, d’écorces d’orange, de bleuet et de bergamote. Histoire de s’encanailler toute seule au coin du feu.
Le jeu de plateau
Et si vous épiciez vos soirées en investissant dans le jeu de plateau 50 Shades of Grey ? Voilà qui changera des sempiternels jeu de la bouteille et « Je n'ai jamais ». A éviter en famille tout de même... Enfin, c'est vous qui voyez.
La lessive
La palme du mauvais jeu de mots revient sans conteste à la marque Surf, qui a donc commercialisé une lessive « Flirty Shades of Surf ». Pour des draps qui hument bon la rose et le jasmin. Le détail qui tue ? La discrète paire de menottes sur le packaging.
Le papier toilette
Last but not least, le papier hygiénique « 50 Shades of Brown », pour les amateurs de blagues scatophiles. « Un super cadeau pour les femmes », peut-on lire dans la description du produit. Permettez-nous d’en douter.
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