Les petites voleuses du métro parisien
Ces dernières ont été formées et entrainées pour qu’elles rapportent un maximum d’argent (environ 300 euros par jour et par filles) et de choses qui sont facilement négociables et se « refourguent » aux meilleurs prix…
En revanche, les mauvaises « gagneuses » sont mises à l’amende par les chefs de clans et subissent des coups , des brûlures de cigarettes et jusqu’à des viols . Elles se font appeler les «Hamidovic», du nom du chef du réseau : Fehmi Hamidovic qui a été arrêté avec ses fils en novembre, et sont toutes sans papiers et mineures. Ca,r connaissant la loi Française, les « protagonistes » des réseaux savent qu’elles ne peuvent être ni incarcérées, ni poursuivies, ni même renvoyées chez elles…
Elles sont originaires de Bosnie-Herzégovine comme leur grand chef : "Le patriarche", ses deux fils et dix suspects de plus ont été eux aussi arrêté lors des coups de filets en Italie et dans le sud de la France et à Paris. En revanche, les têtes de réseau avaient déjà été condamnés en Autriche pour vol et pour une affaire de traite d'être humains. Le clan investissait tout cet argent ainsi amassé dans des grosses voitures de luxe, et a réussi à acquérir un «gros patrimoine immobilier» autant dans le sud de la France qu’en Italie et en Espagne où le réseau s’est répandu depuis plusieurs mois.
Ces jeunes filles séviraient surtout sur la ligne 4, provoquant des bousculades qui leurs servent à opérer.
