Photos : "Elle est horrible", "On se fait hurler dessus", "Elle joue la victime" : Meghan Markle accusée d'être une patronne "toxique"

"Elle est horrible", "On se fait hurler dessus", "Elle joue la victime" : Meghan Markle accusée d'être une patronne "toxique"

© BestImage, Zuma Press / Bestimage

"Elle est horrible", "On se fait hurler dessus", "Elle joue la victime" : Meghan Markle accusée d'être une patronne "toxique"

© BestImage, Zuma Press / Bestimage

Du management toxique : c'est l'accusation qui plane au dessus de la tête de Meghan Markle désormais, mais également, du prince Harry. Les employés de leur podcast «Archetypes» témoignent de manière anonyme, dans Vanity Fair, au sein d'une enquête très détaillée.

© BestImage, Backgrid USA / Bestimage

Ils dénoncent une attitude immature, hypocrite, mais également, désastreuse pour la santé mentale d'autrui. Où une bienveillance apparente initiale laisserait progressivement place à un tout autre son de cloche : "à la moindre contrarié, elle devient froide et distante, jugeant son interlocuteur responsable de tous les maux".

© BestImage, Zuma Press / Bestimage

"On peut très bien se faire hurler dessus sans que quiconque n’élève la voix... C’était vraiment, vraiment, vraiment horrible de travailler eux. Très douloureux. Elle peut vous jeter aux loups à tout moment", peut-on lire dans cet article très fouillé. Si bien qu'il arrive qu'un employé prenne des congés "après avoir travaillé sur trois épisodes seulement".

© BestImage, Backgrid USA / Bestimage

Ou pire : quittent la boîte, leur emploi, quand ils ne se mettent pas tout simplement "à suivre une thérapie au long cours après avoir travaillé avec Meghan", épingle Vanity Fair. Le signe évident d'un burn out professionnel. Mais ce n'est pas tout.

© BestImage, Zuma Press / Bestimage

D'autres paroles tout aussi critiques se font entendre : "C'est tout travail de sape. On parle tout le temps de vous dans votre dos. On vous rabaisse... Mais Meghan plutôt que d'admettre ses torts se drape dans un récit victimaire". D'autres privilégient des mots plus tranchants encore : Meghan et Harry seraient ni plus ni moins que "des arnaqueurs".