Julie Gayet à propos de François Hollande : "Je ne suis pas une fille de passage !"
Après le tumulte provoqué en début d'année par le magazine Closer, suite à la révélation de la liaison de François Hollande et Julie Gayet, la situation semblait s'être apaisée ces derniers mois. D'ailleurs, selon les informations de Gala, l'actrice de 42 ans se réjouissait de cette accalmie lors du dernier festival de Cannes. « Elle se félicitait qu'on la laisse enfin tranquille. Elle confiait à quelques amies de la profession que le fait qu'une partie de la presse croie à sa rupture avec François Hollande lui permettait de respirer ». Une rupture qui ne serait donc que feinte. Pour preuve, l'agacement de Julie Gayet après les rumeurs d'un rapprochement entre le président de la République et son ex-compagne, Ségolène Royal. « Je ne suis pas une fille de passage », aurait-elle alors martelé, toujours selon les sources du magazine.
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Et en effet, il semble que celle qui fut à l'affiche de Quai d'Orsay en 2013, soit toujours la bienvenue à l'Élysée. « Ses incursions, certains soirs de la semaine, se font par une entrée discrète ; la comédienne évitant soigneusement, une fois à l'intérieur, de passer devant les fenêtres à portée d'objectif », croit savoir l'hebdomadaire. Et d'ajouter : « Il y a encore quelques mois, le personnel du Palais se tenait à l'écart des appartements privés. Aujourd'hui, tout a changé. Le staff de l'Élysée et la garde rapprochée de François Hollande la croisent librement. Elle ne se cache plus. »
Une officialisation le 12 août ?
Alors, doit-on s'attendre à une officialisation de l'histoire d'amour entre François Hollande et Julie Gayet le 12 août, comme le laissent entendre des bruits de couloir ? Profitant, en début de semaine, du dîner avec l'Association de la presse présidentielle, le chef de l'État a démenti cette information. Le seul événement que je connaisse le 12 août, c'est mon anniversaire», a-t-il répliqué selon Le Parisien. Invitant ceux qui voudraient à venir lui souhaiter, il a par ailleurs précisé : « Pas la peine d'apporter les dragées ! »
